La guerre - jamais une excuse

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Date: 
Friday, March 2, 2018

District d’Illawarra, Australie, le 19 décembre 2014.
Aaron d'Urantia.
Sujet : « La guerre - jamais une excuse. »

Reçu par George Barnard.

Aaron : « La seule pensée, la discussion fréquente et l’enseignement autrefois mondial qu’une certaine personnalité approchant le statut d’un Dieu souhaiterait qu’une tribu, une race ou une nation élimine une autre sont plus anciennes que l’arrivée de Caligastia dans la Mésopotamie antique. Bien avant l'époque du Fils Lanonandek, des batailles ont fait rage avec peu d'armes si ce n’est des pierres et des bâtons pointus. De mes jours, le mythe absolu que nous étions un peuple supérieur était la raison de notre belligérance et du massacre en masse. Il y a peu de documentation sur ceux que nous avons asservis.

« Vois-le maintenant clairement, mon ami : la forte impulsion d'attaquer et de vaincre les autres est de la cupidité pour leurs terres, leurs biens et leurs services comme esclaves (le prestige, la richesse et l’autorité pour les conquérants). Notre excuse après nos années de voyage dans les régions sauvages était que la Volonté de Jahvé exigeait que tous soient punis. En réalité nous les considérions comme inférieurs, désorganisés et insignifiants, alors que nous avions augmenté en nombre et que vous nous considéreriez aujourd'hui comme des pilleurs. En fait, nous étions les voleurs de votre bible, car le Créateur n'a aucun favori et déteste vraiment toutes les guerres.

« En ces jours peu glorieux et dangereux du 21ème siècle, rien n'a changé. En ces époques d'armes atomiques, l’espionnage sans fin et la sanction des nations plus faibles, vous êtes toujours en guerre. Simultanément, vous menez beaucoup, beaucoup de combats. Les guerres monétaires sont réelles ; ce sont des guerres douloureuses. Le fait de sanctionner certains groupes ou certaines nations affecte tous les autres à la longue, et tout le monde est perdant. Êtes-vous donc les moutons de Panurge mythiques qui, après un certain nombre d'années, contribuez ainsi votre propre fin ?

(Nous avons ici une interruption regrettable de nombreuses heures).

Chef Bzutu : « C’est encore Bzutu avec le reste du message de l’Enseignant Aaron. Il est assez court. L’Enseignant réputé déclare :

« Nous, dans notre royaume céleste, nous voyons un net déclin moral de votre civilisation. Bon nombre d'entre vous sont entrain de déraper sur une pente extrêmement glissante de confusion, de trouble psychologique, de comportement émotif exagéré, de comportement inacceptable. Cela pourrait être comparé avec la capacité mentale d’inventer de nouveaux ennemis en lançant des fléchettes sur une carte du monde. En effet, c'est de la folie, mais les difficultés effroyables qui pourraient bien résulter de vos armements nucléaires séduisants, pourraient si tout va bien, devenir les médicaments de vérité amers de votre futur rétablissement possible. »

Aaron déclare : « C'est la guerre et c'est un péché de mentir au sujet de ceux que vous choisissez pour être vos adversaires. C'est la guerre et c'est un crime de diffuser votre propagande sans fin. C'est la guerre et c'est une offense de retourner les marchés contre votre adversaire. C'est un meurtre quand vous videz vos armes sur vos adversaires, c’est un infanticide lorsqu'un seul enfant erre dans la ligne de feu. Il n'y a aucune excuse ! Il n'y a rien de tel que des dommages collatéraux - un terme inventé par les dérangés, les anarchistes de ce monde. »

Pour finir Aaron ajoute : « Peut-être qu’il n’est pas trop tard pour non seulement détourner juste un frère de ses folles justifications, mais aussi pour le faire renoncer à un futur crime. Peut-être que mon appel arrive à temps pour que beaucoup de vous considèrent vraiment tous les autres comme étant vos parents directs et pour que vous guérissiez votre monde. Nos prières sont avec vous tous. »

Chef Bzutu : « Ce sont les paroles que m’a confiées l’Enseignant Aaron.  Je vous dis bonne nuit. Vous êtes fortement aimés par beaucoup. »
 

Traduction française : Anyas Spencer et Cécile Annat.
 

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